En prenant le train, un Ontarien, un Québécois
et une très jolie Suédoise
se retrouvent dans le même compartiment.
À un moment donné durant le voyage,
le train passe dans un tunnel
laissant le compartiment dans la noirceur
pendant plusieurs secondes.
Dans le noir complet,
on entend alors le son d'un gros bisou
suivi d'une claque violente.

Quand le train sort du tunnel,
le Québécois et la jolie Suédoise sont assis
comme si rien ne s'était passé.
L'Ontarien par contre se tient la joue.
Apparemment, c'est lui qui a pris la grande claque.
La jeune Suédoise pense à ce qui s'est passé et se dit:
" Le Canadien anglais a essayé de m'embrasser
mais comme il faisait noir,
il s'est trompé et a embrassé le québécois
qui lui a foutu une bonne claque "
L'Ontarien pense de son coté:
" Le Québécois a dû essayer d'embrasser la fille
et en voulant le punir,
elle l'a raté et m'a malheureusement frappé."
Le Québécois se dit, en riant pour lui-même:
" Criss que c'est comique!
Au prochain tunnel,
je refais le bruit du baiser
et je câlisse une autre claque à l'ostie d'anglais!

C'est un syndicaliste qui désire se payer du bon temps avec une prostituée.
Étant très conscient des abus dont sont victimes
les travailleuses du sexe,
notre syndicaliste cherche une " maison " où les filles seraient syndiquées
ou, du moins, convenablement payées.
À la première maison, le syndicaliste s'informe:
"Je voudrais une fille pour une heure,
mais j'aimerais d'abord connaître vos politiques concernant
les employées.
Est-ce qu'elles sont syndiquées?"
"Non monsieur, elles ne sont pas syndiquées."
"Quel est le pourcentage donné à la fille
par rapport au pourcentage conservé par la maison?"
"20 % à la fille et 80 % pour la maison."
"C'est absolument écoeurant comme manière de fonctionner!
Je ne peux pas encourager une situation semblable.
Je vais ailleurs."
Poursuivant sa recherche d'une maison du sexe juste et équitable,
notre syndicaliste arrive à une 2ème maison.
Il s'informe:
"Bonjour! Je voudrais une fille pour une heure
mais j'aimerais d'abord connaître vos politiques concernant les employées.
Est-ce qu'elles sont syndiquées?"
"Non monsieur, mes employées ne sont pas syndiquées."
"Quel est le pourcentage donné à la fille
par rapport au pourcentage conservé par la maison?"
"30 % à la fille et 70 % pour la maison."
"C'est dégueulasse!
Vous ne m'aurez pas comme client.
Je vais ailleurs."
Il se rend donc à une troisième maison.
"Bonjour!
Je voudrais une fille pour une heure,
mais j'aimerais d'abord connaître
vos politiques concernant les employées.
Est-ce qu'elles sont syndiquées?"
"Oui monsieur, nos employées sont syndiquées."
"Bon, enfin.
Et quel est le pourcentage donné à la fille
par rapport au pourcentage conservé par la maison?"
"80 % à la fille et 20 % pour la maison."
"De mieux en mieux!
C'est une manière de fonctionner qui me convient parfaitement.
Est-ce que je pourrais avoir la jolie
petite rousse dans le coin là-bas ?"
"Non, monsieur.
Je suis désolée mais vous devez prendre
celle qui est assise dans le fauteuil fleuri."
"Mais, madame, cette femme a presque 80 ans!"
"Je le sais bien monsieur,
mais nous devons fonctionner par ancienneté.
C'est écrit dans la convention !"

N'oubliez pas de donner de temps en temps
une petite tape amicale sur l'épaule
de vos collègues pour les encourager
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Voilà c'est fait..........