La classe de toto va à la ferme, celui-ci tient la main de son institutrice et il lui dit :
-regardez! regardez!
-oui, j'ai vu Toto se sont des vaches.
Toto continu et lui dit :
-maitresse! maitresse! Vous avez vu ça.
-oui, j'ai vu. Ce sont des canards.
Et quelques minutes plus tard, il lui dit :
-regardez! regardez là!
L'institutrice, ayant vu un chien, lui répond :
-oui,j'ai vu...
Et toto surpris lui dit :
-bah, pourquoi vous avez marché dedans!

Maxime arrive dans la cuisine, se plante devant sa
maman et lui demande d'un air très sérieux :
- Maman, c'est vrai que le Bon Dieu qui nous donne notre pain quotidien ?
- Evidemment mon bébé adoré...
- Et les cadeaux à Noël ?
C'est bien le Père-Noël qui les apporte, hein ?
- Tout à fait, chéri de cœur...
- Et pour les bébés, c'est la cigogne, non ?
- Tout à fait, amour de ma vie...
- Ben alors maman...
A quoi il sert papa ?

J'ai entendu que tu t'es remarié.
- Oui, c'est ma quatrième fois
- Et les précédentes ?
- Toutes mortes, toutes.
- Mon Dieu ! Et comment ?
- La première a mangé des champignons vénéneux.
- Pour l'amour du ciel ! Et
la deuxième ?
- Aussi.
- Et la troisième a mangé aussi des champignons vénéneux.
- Non, non, elle s'est cassé le cou.
- Un accident ?
- Non, elle n'a pas voulu manger les champignons.

En conjugaison, le verbe le plus difficile à maîtriser
est le verbe "aimer" :
- son présent n'est qu'indicatif,
- son passé n'est jamais
simple,
- son futur est toujours conditionnel.

Un couple célèbre son 50e anniversaire de mariage.
Leur tranquillité a toujours été le sujet de conversation dans leur village. On disait :
- Quel couple pacifique et amoureux.
Un journaliste local décide donc de faire un reportage sur ce couple, afin de connaître le secret de leur bonheur.
- Eh bien, ça remonte à notre voyage de noce, explique le mari. Nous visitions le Grand Canyon et avons décidé de le traverser à dos d'âne. Nous n'avions pas encore parcouru une grande distance quand l'âne de ma femme trébucha. Ma femme, sur un ton tranquille, dit :
- Première fois.
L'âne se releva et nous
avons continué. Après une courte distance l'âne trébucha à nouveau. Une fois de plus, ma femme, sur un ton tranquille, dit :
- Seconde fois.
L'âne se releva à nouveau et nous sommes repartis. Nous n'avions pas fait la moitié d'un mile que l'âne trébucha une 3ème fois.
Tranquillement, ma femme sortit un pistolet de sa bourse et tua l'âne.
C'est alors que je me suis fâché et que je lui ai dit ce que je pensais de la façon dont elle avait traité
cette pauvre bête, quand soudain, elle m'a regardé et m'a dit d'une voix tranquille :
- Première fois.
depuis ce jour nous vivons heureux................
