Le juge demande à un homme, accusé d’adultère, de raconter en détails son histoire :
- L’accusé : Je monte chez Madame… vers 10h30. Elle portait une légère chemise de nuit noire et transparente qui cachait timidement un string de la même couleur, bien serrée sur ses hanches rondes et laissait déborder sa généreuse poitrine.
- Le juge : Continuez.
- L’accusé : Je n’arrivais pas à oublier la douceur du premier baiser qu’elle m’avait donné en m’ouvrant la porte, alors je l’avais empêché de parler en l’embrassant longuement et tendrement sur la bouche en la tirant dans mes bras.
- Le juge : Et puis.
- L’accusé : Nous nous sommes retrouvés dans sa chambre, elle m’avait déshabillé plus vite que je ne lui avait ôté sa chemise, je la couvrais de caresses douces, elle, elle me couvrais de baisers chauds et humides. Au moment où je glissais amoureusement sur corps et elle, remplie de désir, écartait ses jambes.
- Le juge : Alors ?
- L’accusé : Son mari est venu.
- Le juge : Mais qu’est ce qu’il vient foutre ce con à ce moment là..........
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Deux vieilles dames qui vont à la messe tous les dimanches Marie et Thérèse. Marie dit :
- Pourquoi tu as pris ton parapluie la météo a dit qu’il allait faire beau.
- Non, il va pleuvoir en sortant. Et en sortant il pleut. Le dimanche suivant arrive et Marie dit :
- Prend ton parapluie il va pleuvoir la météo l’a dit.
- Non, il va faire beau quand on va sortir. Elles sortent de l’église et il fait beau, alors Marie demande à Thérèse:
- Comment peux tu savoir le temps qu’il va faire.
Alors Thérèse lui dit :
- Quand je me lève je regarde si le sexe de mon mari est à droite c’est qu’il va pleuvoir et s’il est à gauche c’est qu’il fera beau. Et Marie demande :
- Et si le kiki de ton mari est au milieu que fais tu ?
- Je reste à la maison
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Un homme en congé, reste au foyer et s’occupe de son petit ménage quand il entend frapper à la porte. Il ouvre, et découvre une femme qui lui demande :
- Monsieur, Avez-vous un pénis ?
L’homme, surpris et incrédule claque la porte au nez de la femme, croyant ainsi s’en débarrasser. Mais la femme revient pendant les trois jours suivants. Le mari décide d’en parler à sa femme. La femme dit à son mari :
- Demain je n’irai pas travailler. Quand cette femme te demandera si tu as un pénis, tu lui diras oui. Je serai cachée derrière la porte et nous saurons où elle veut en venir. Et on pourra lui régler son compte.
Le lendemain, la même femme revient , elle frappe , le monsieur ouvre la porte et la femme lui redemande :
- Monsieur avez-vous un pénis ?
Le monsieur répond :
- oui.
Alors la femme dit à l’homme :
Bon, si vous avez un pénis, pouvez-vous dire s’il vous plait à votre femme qu’elle se serve du vôtre et qu’elle arrête d’utiliser celui de mon mari